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Planète Juridique - admin, 20/06/2013
Pas de langue de bois : le printemps 2013 est pourri!Moins de soleil, moins de chaleur et plus de pluie. Les alertes orange inondations succèdent aux alertes orange orage ...Ce temps fait quelques heureux : producteurs d'énergie hydraulique, distributeurs de fioul, fabricants et vendeurs de parapluies et de ... soupes ! Et des tas de malheureux : arboriculteurs, maraîchers, éleveurs, cafés-hotels restaurants, campings, fabricants et vendeurs de glaces, d'insecticides et de produits solaires, et tant d'autres. Il faut croire que le vieux proverbe breton "Qui trop écoute la météo, passe sa vie au bistrot" n'est plus d'actualité ! La FNSEA quant à elle a estimé à 500 millions d'euros le coût de ces intempéries.Aujourd'hui, Manuel VALLS, en marge de la visite de François Hollande à Saint-Béat (31), a déclaré que l'état de catastrophe naturelle serait reconnue pour les Hautes Pyrénées, la Haute Garonne et tous les départements et territoires frappés par les crues Quoi qu'il en soit, ce temps ne donne pas envie de consommer. Est-ce pour ça ou est-ce l'effet conjugué de la crise et des hausses d'impôts annoncées à tout bout de champ, toujours est-il qu'en mars, la consommation des ménages est repartie à la baisse.A la notable exception des renégociations de prêt immobilier dues à la baisse des taux d'intérêt qui n'en finit plus d'être historique (celle-ci est appréciable, mais c'est bien la seule !), le rachat de crédits immobilier et à la consommation réunis connaît lui aussi une baisse de régime.Et pourtant l'avenir n'est pas au beau fixe : de lourds nuages noirs annonciateurs de chômage obscurcissent toujours le ciel de l'emploi. Donc si, comme le disait Shakespeare, "beaucoup peuvent supporter le mauvais temps qui n'ont pas le goût pour la tempête", ceux qui, étant endettés (même raisonablement aujourd'hui), sont exposés à un risque de licenciement seraient bien inspirés d'anticiper cette éventuelle baisse de revenus par une baisse de leurs mensualités au moyen d'un regroupement de crédits tant qu'ils y sont éligibles. Et que ceux qui croient pouvoir compter sur les amis se rappellent que ces derniers ont, comme les parapluies, la fâcheuse tendance de se retourner quant il fait mauvais temps !Heureusement, après la pluie, Rainbow Finance.
Pas de langue de bois : le printemps 2013 est pourri!Moins de soleil, moins de chaleur et plus de pluie. Les alertes orange inondations succèdent aux alertes orange orage ...Ce temps fait quelques heureux : producteurs d'énergie hydraulique, distributeurs de fioul, fabricants et vendeurs de parapluies et de ... soupes ! Et des tas de malheureux : arboriculteurs, maraîchers, éleveurs, cafés-hotels restaurants, campings, fabricants et vendeurs de glaces, d'insecticides et de produits solaires, et tant d'autres. Il faut croire que le vieux proverbe breton "Qui trop écoute la météo, passe sa vie au bistrot" n'est plus d'actualité ! La FNSEA quant à elle a estimé à 500 millions d'euros le coût de ces intempéries.Aujourd'hui, Manuel VALLS, en marge de la visite de François Hollande à Saint-Béat (31), a déclaré que l'état de catastrophe naturelle serait reconnue pour les Hautes Pyrénées, la Haute Garonne et tous les départements et territoires frappés par les crues Quoi qu'il en soit, ce temps ne donne pas envie de consommer. Est-ce pour ça ou est-ce l'effet conjugué de la crise et des hausses d'impôts annoncées à tout bout de champ, toujours est-il qu'en mars, la consommation des ménages est repartie à la baisse.A la notable exception des renégociations de prêt immobilier dues à la baisse des taux d'intérêt qui n'en finit plus d'être historique (celle-ci est appréciable, mais c'est bien la seule !), le rachat de crédits immobilier et à la consommation réunis connaît lui aussi une baisse de régime.Et pourtant l'avenir n'est pas au beau fixe : de lourds nuages noirs annonciateurs de chômage obscurcissent toujours le ciel de l'emploi. Donc si, comme le disait Shakespeare, "beaucoup peuvent supporter le mauvais temps qui n'ont pas le goût pour la tempête", ceux qui, étant endettés (même raisonablement aujourd'hui), sont exposés à un risque de licenciement seraient bien inspirés d'anticiper cette éventuelle baisse de revenus par une baisse de leurs mensualités au moyen d'un regroupement de crédits tant qu'ils y sont éligibles. Et que ceux qui croient pouvoir compter sur les amis se rappellent que ces derniers ont, comme les parapluies, la fâcheuse tendance de se retourner quant il fait mauvais temps !Heureusement, après la pluie, Rainbow Finance.
