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Innombrable
Planète Juridique - admin, 12/07/2013
Il arrive, fort heureusement rarement, qu'une demande de rachat de crédits porte sur d'innombrables crédits. Généralement, elle fait l'objet d'innombrables refus des établissements spécialisés et de leurs intermédiaires sollicités à grands coups de souris sur Internet, car l'emprunteur est surendetté et in fine la Commission de surendettement refuse également d'intervenir car ce dernier n'a pas déclarés ses crédits précédents aux prêteurs suivants pour qu'ils ne refusent pas le crédit de plus (c'était déjà depuis avant, trop !). Sans porter de jugement de valeur sur les ménages qui empilent les crédits comme les loufiats les assiettes, tous avant la plonge, ni sur les établissements de crédit et les banques qui leur permettent, on peut s'interroger sur les causes de cette credit mania. Il a fallu la loi Lagarde pour interdire les publicités qui laissaient croire qu'un crédit c'est une augmentation de revenus, un substitut d'épargne ... qu'en tout état de cause, ça améliore la situation financière de l'emprunteur, bref que c'est bon pour le budget. Cette loi éponyme a même prévu l'obligation de rappeler qu'un crédit, ça se rembourse (les publicités ne le disaient pas, vous vous rendez compte !)Trois ans plus tard, le crédit a connu une baisse historique (logique puisque maintenant tout le monde sait qu'il faut le rembourser !), mais pas le surendettement. Il y a un lézard, faut réfléchir encore.Danton a dit: "Après le pain, l'éducation est le premier besoin d'un peuple." Eduquons donc nos jeunes dès que possible (à l'âge de leur premier smarphone, par exemple) et ils sauront gérer un budget en utilisant, si besoin est, le crédit à bon escient. Et pour les plus grands qui n'ont plus que de lointains souvenirs scolaires d'arithmétique et dont certains sont même fâchés avec les calculs élémentaires, on pourrait, par exemple, demander aux banques et sociétés de crédit de leur offrir "l'Attrape-Nombres", un logiciel de jeu simple, rapide et amusant, imaginé par l'Unité INSERM-CEA de Neuroimagerie Cognitive (quand même !) qui permet de jongler avec les nombres. C'est mieux que de les empiler, non ?
Il arrive, fort heureusement rarement, qu'une demande de rachat de crédits porte sur d'innombrables crédits. Généralement, elle fait l'objet d'innombrables refus des établissements spécialisés et de leurs intermédiaires sollicités à grands coups de souris sur Internet, car l'emprunteur est surendetté et in fine la Commission de surendettement refuse également d'intervenir car ce dernier n'a pas déclarés ses crédits précédents aux prêteurs suivants pour qu'ils ne refusent pas le crédit de plus (c'était déjà depuis avant, trop !). Sans porter de jugement de valeur sur les ménages qui empilent les crédits comme les loufiats les assiettes, tous avant la plonge, ni sur les établissements de crédit et les banques qui leur permettent, on peut s'interroger sur les causes de cette credit mania. Il a fallu la loi Lagarde pour interdire les publicités qui laissaient croire qu'un crédit c'est une augmentation de revenus, un substitut d'épargne ... qu'en tout état de cause, ça améliore la situation financière de l'emprunteur, bref que c'est bon pour le budget. Cette loi éponyme a même prévu l'obligation de rappeler qu'un crédit, ça se rembourse (les publicités ne le disaient pas, vous vous rendez compte !)Trois ans plus tard, le crédit a connu une baisse historique (logique puisque maintenant tout le monde sait qu'il faut le rembourser !), mais pas le surendettement. Il y a un lézard, faut réfléchir encore.Danton a dit: "Après le pain, l'éducation est le premier besoin d'un peuple." Eduquons donc nos jeunes dès que possible (à l'âge de leur premier smarphone, par exemple) et ils sauront gérer un budget en utilisant, si besoin est, le crédit à bon escient. Et pour les plus grands qui n'ont plus que de lointains souvenirs scolaires d'arithmétique et dont certains sont même fâchés avec les calculs élémentaires, on pourrait, par exemple, demander aux banques et sociétés de crédit de leur offrir "l'Attrape-Nombres", un logiciel de jeu simple, rapide et amusant, imaginé par l'Unité INSERM-CEA de Neuroimagerie Cognitive (quand même !) qui permet de jongler avec les nombres. C'est mieux que de les empiler, non ?
