25 ans dans une startup - billet n.28
Zythom - Zythom MEM, 18/09/2018
Introduction - billet n.27
J'adore mon métier. Je fais tout pour être heureux le matin en allant travailler, pour aimer le lundi matin plus que les autres matins. Enfin, j'essaye... J'ai vite appris à faire confiance dans les capacités des personnes de mon entourage professionnel, et à travailler en équipe avec les différents services de la startup.
Comme dans beaucoup d'entreprises, le service informatique gère un périmètre qui relève de toute évidence de sa compétence : le réseau informatique, les ordinateurs, les serveurs, l'accès internet et les imprimantes. Mais avec les années, de plus en plus d’interactions ont lieu avec un autre service de la startup : le service technique. A lui la gestion de l'électricité et des onduleurs, des climatisations, de la téléphonie, des gros photocopieurs, des télévisions, des vidéoprojecteurs, du contrôle d'accès, du système de gestion technique du bâtiment, du chauffage, et de pleins d'autres choses...
Il y a des interactions évidentes : les climatisations de la salle serveurs, l'électricité de secours... Mais beaucoup des autres équipements commencent eux aussi leurs évolutions vers le numérique : les photocopieurs multifonctions sont reliés au réseau informatique et se transforment en imprimante/scanner avec une télémaintenance associée (par ligne téléphonique analogique !), les vidéoprojecteurs se connectent au réseau informatique, le contrôle d'accès et sa base de données aussi. Bref, beaucoup des appareils gérés par le service technique s'informatisent.
Et en cette année 2007, le responsable du service technique décide de quitter la startup. C'est la surprise qui m'attendait au retour de mission en terre africaine.
Le service technique se retrouve alors sans personne à sa tête et la Direction de la startup se met à la recherche d'une solution en commençant à réfléchir au meilleur recrutement possible.
C'est là que j'ai eu une idée curieuse, qui a surpris tout le monde...
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Ce récit est basé sur des faits réels, les noms et certains lieux ont été changés.
J'adore mon métier. Je fais tout pour être heureux le matin en allant travailler, pour aimer le lundi matin plus que les autres matins. Enfin, j'essaye... J'ai vite appris à faire confiance dans les capacités des personnes de mon entourage professionnel, et à travailler en équipe avec les différents services de la startup.
Comme dans beaucoup d'entreprises, le service informatique gère un périmètre qui relève de toute évidence de sa compétence : le réseau informatique, les ordinateurs, les serveurs, l'accès internet et les imprimantes. Mais avec les années, de plus en plus d’interactions ont lieu avec un autre service de la startup : le service technique. A lui la gestion de l'électricité et des onduleurs, des climatisations, de la téléphonie, des gros photocopieurs, des télévisions, des vidéoprojecteurs, du contrôle d'accès, du système de gestion technique du bâtiment, du chauffage, et de pleins d'autres choses...
Il y a des interactions évidentes : les climatisations de la salle serveurs, l'électricité de secours... Mais beaucoup des autres équipements commencent eux aussi leurs évolutions vers le numérique : les photocopieurs multifonctions sont reliés au réseau informatique et se transforment en imprimante/scanner avec une télémaintenance associée (par ligne téléphonique analogique !), les vidéoprojecteurs se connectent au réseau informatique, le contrôle d'accès et sa base de données aussi. Bref, beaucoup des appareils gérés par le service technique s'informatisent.
Et en cette année 2007, le responsable du service technique décide de quitter la startup. C'est la surprise qui m'attendait au retour de mission en terre africaine.
Le service technique se retrouve alors sans personne à sa tête et la Direction de la startup se met à la recherche d'une solution en commençant à réfléchir au meilleur recrutement possible.
C'est là que j'ai eu une idée curieuse, qui a surpris tout le monde...
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Ce récit est basé sur des faits réels, les noms et certains lieux ont été changés.