Diana Krall live in Rio
Actualités du droit - Gilles Devers, 9/12/2012
Depuis son premier CD, c’est la même histoire. Elle est tellement d’un autre monde, qu’on se demande... On écoute les premières mesures,... et on est conquis ! Conquis à vie. Avec Diana Krall, c’est l’amour pour la vie, éternel et inoxydable.
Chères amies, chers amis, voici donc l’une des avocates stagiaires du bureau… Euh,… Voici la grande et légendaire Diana Krall, la canadienne du monde entier, qui ce soir de novembre 2008 est en train d’exploser la musique en Amérique, à Rio De Janeiro. On sent que tout lui plait pour ce concert, et le résultat est sublime.
Diana a réuni des fidèles, une rythmique de derrière les fagots : à la guitare Anthony Wilson, qui fait chanter sa guitare comme la belle canadienne, à la basse le grand gentleman John Clayton, qui à lui seul pose le swing de tout le concert, et à la batterie Jeff Hamilton, qui connait par coeur la musique de Diana, et c'est parfait. De grands artistes à qui la maman collait du jazz dans le biberon... Diana Krall est à son affaire, et elle se lâche avec le piano comme jamais, pas la grande virtuose, mais la musicienne. On est au top.
Ensuite, c’est le luxe de Diana Krall : un grand orchestre, ce soir dirigé par Ruria Duprat.
Le concert décolle à la verticale avec un “I Love Being Here With You” d’anthologie. Si vous êtes encore vivant après cela, vous tomberez avec “Let’s Fall in Love” : comme si la voix ne suffisait pas, elle enchante le piano. N’essayez pas de résister, personne n’y est parvenu. C’est donc dans un coma dépassé de bonheur que vous partirez pour des contrées très lointaines. Entre le jazz et la bossa…