Gregory Porter, au Jazzwoche Burghausen 2013

Si vous vous êtes fâchés avec un-e ami-e, voici le petit cadeau qui fera tout passer : le magnifique concert de Gregory Porter, au Jazzwoche Burghausen 2013.

Cela fait plus de vingt ans que Gregory a heureusement abandonné le football américain pour se consacrer la musique, avec un instrument, la voix, et une source d’inspiration, sa mère : « C’est à ma mère, qui nous a élevés seule, que je dois tout. Pasteur, elle m’a transmis sa passion pour le gospel et m’a toujours encouragé à chanter. Jusqu’à mon dernier souffle. »

Gregory Porter est passé par la meilleure des écoles, celle des clubs, de sa Californie natale à New York. Patiemment, jour après jour… Pour ce crooner hors pair, la base est Nat King Cole, mais il a croisé tant de musiciens… et il célèbre quelques vigies : Cole Porter, Donny Hathaway, Marvin Gaye, Bill Whiters, Abbey Lincoln, Max Roach.

Sa musique, c’est le jazz, travaillé dans tous ses classiques, qui devient une communauté avec le blues, la soul et le gospel de son enfance. Une culture musicale qui est la base du succès, acquis avec trois albums : Water en 2010, Be Good en 2012 etLiquida Spirit en 2013.  Vous verrez vite que Gregory Porter, c’est… Gregory Porter : une voix, un groove, un style… Unique !

L’orchestre, ce sont des fidèles : Chip Crawford au piano, Emanuel Harrold à la batterie,  Aaron James à la basse, John Faddis à la trompette et le fantastique Yosuke Sato au sax alto. Le concert s’ouvre, comme il se doit, par le célébrissime Painted On Canvas.

Cet été, Gregory Porter va donner de nombreux concerts en France : ne le ratez pas.