Louis Armstrong, The King
Actualités du droit - Gilles Devers, 4/11/2012
Louis Armstrong dans ses œuvres, en 1959, pour un concert en Belgique. C’est grandiose, simple, joyeux et précurseur. Toute la vie et tout l’avenir du jazz… Ce concert a plus de cinquante ans, et pas une ride. Tout est en place, et remarquable. C’est du grand grand Louis Armstrong, ce qu’il a toujours fait quand il jouait avec de vrais orchestres, dans un vrai format « jazz ».
L’orchestre est au top : Peanuts Hucko à la clarinette, Trummy Young au trombone, Bill Kyle au piano ; mentions spéciales au bassiste Mort Herbert, qui déplace sa contrebasse devant le micro pour les solos, et à l’extraordinaire batteur, Danny Barcelona, maître de la puissance et la mobilité de cet orchestre. Ses solos sont des modèles. Et je n’oublie Velma Middleton, chanteuse… et danseuse !
Dans les années 50, le jazz était en révolution et Louis Armstrong faisait figure de papy, has been entretenant la tradition du gentil jazz qui fait danser… Ce concert montre que sa musique était magnifique, et qu'il ouvrait toutes les portes…