Centre national de génotypage
- Wikipedia, 4/01/2012
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Centre national de génotypage (CNG) | |
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Siège | Génopole d'Évry (Essonne) |
Pays | France |
Rattachement | CEA |
Directeur | Mark Lathrop (1999-2011) |
Disciplines | Génétique |
Site web | http://www.cng.fr |
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Le Centre national de génotypage (CNG) (48° 37′ 27″ N 2° 26′ 19″ E / 48.6241, 2.4387148° 37′ 27″ N 2° 26′ 19″ E / 48.6241, 2.43871) a pour objectif le développement et l'application du génotypage et des technologies génomiques liées à cette activité, notamment pour l'identification de gènes morbides impliqués dans les maladies héréditaires. Situé sur la Genopole d'Évry avec des laboratoires de recherche académique, des entreprises de biotechnologies et l'Université d'Évry, il est actuellement dirigé par Mark Lathrop.
Le Centre national de génotypage a été constitué en groupement d’intérêt public (GIP) sous tutelle du Ministère de la Recherche du gouvernement français.
En octobre 1998, le Centre national de génotypage a repris les activités génomiques du Généthon qui, avec l’aide de l’AFM (Association française contre les myopathies), a été un pionnier des études génomiques en France.
En 2002, le CNG est devenu partie du nouveau GIP Consortium national de recherche en génomique ou CNRG. Les autres membres du GIP CNRG sont l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), le Centre national de la recherche scientifique (CNRS), l’Institut national de la recherche agronomique (INRA), le Commissariat à l'énergie atomique (CEA), et la société FIST (France innovation scientifique et transfert, filiale de transfert de technologie du CNRS).
La Direction des sciences du vivant du CEA assure, depuis le 1er mai 2007, la gestion des deux plates-formes nationales de génomique : le Génoscope - Centre national de séquençage (CNS) et le Centre national de génotypage (CNG)[1].