Affaire Monique Case
- Wikipedia, 11/10/2011
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L’affaire Monique Case, dite l’affaire du Bois Bleu (entre Germigny l'Exempt, Grossouvre et La Chapelle Hugon).
1966, Au lieu dit le "Bois Bleu" entre Germigny l'Exempt, Grossouvre et la Chapelle HugonCher. Georges Segretin, chef de bureau à la Société générale est retrouvé carbonisé dans sa 2CV.
Le commissaire chargé de l’enquête s’intéresse à Monique Case, commerçante avec son époux à la Guerche sur l'Aubois. Des rumeurs circulent sur sa vie « dissolue ». Très vite la trop élégante et trop sociable dame est accusée du meurtre avec un gendarme chargé de l’enquête. Les médias locaux, nationaux et bientôt internationaux s’emparent de l’histoire et la surnomment « Monique la diabolique ». Le commissaire, persuadé d’avoir trouvé la coupable idéale, s’acharne. À Paris le meurtre de Ben Barka fait des remous. Le crime de La Guerche pourrait alors servir de dérivatif. Certains journaux remettent pourtant en doute la culpabilité de Monique Case qui risque la guillotine. La contre-enquête d’une juge intègre, madame Chouvelon, va établir son innocence. Mais la vie de Monique Case, de ses proches et du gendarme co-accusé est brisée[1].
Notes et références
- ↑ Gérard Boursier. L'affaire du Bois bleu. Noir délire, 2006