Direction centrale du Renseignement intérieur
- Wikipedia, 22/01/2012
Direction centrale du Renseignement intérieur | |
Création | 1er juillet 2008 |
---|---|
Type | Service de renseignements |
Siège | 84, rue de Villiers Levallois-Perret |
Langue(s) | Français |
Budget | 41 millions d'euros[1] |
Effectifs | 3 306[2] (2922 en 2011) |
Directeur | Bernard Squarcini |
Personne(s) clé(s) | René Bailly Patrick Calvar |
Affiliation(s) | Ministère de l'Intérieur français, Direction générale de la police nationale |
La Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) est le service de renseignements du ministère de l'Intérieur français, au sein de la Direction générale de la Police nationale, née de la fusion de la Direction de la surveillance du territoire (DST) et de la Direction centrale des Renseignements généraux (RG)[3],[4]. Ce service est opérationnel depuis le 1er juillet 2008[5].
Selon le communiqué du ministère de l'Intérieur, « la DCRI se veut un “FBI à la française” en matière de renseignement[6] ».
Sommaire |
Historique
La fusion fut annoncée le 13 septembre 2007 par la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie[7]. Les textes fondateurs de la DCRI ont été adoptés le 7 avril 2008, la fusion entre les RG et la DST étant effective le mardi 1er juillet 2008.
Bernard Squarcini, directeur de la Direction de la surveillance du territoire (DST) en 2008, est nommé à la tête de cette organisation. Il est à l'origine assisté de deux directeurs centraux adjoints, René Bailly, ancien fonctionnaire des RG, et Patrick Calvar, ancien fonctionnaire de la DST. René Bailly quitte ensuite la DCRI au mois de juin 2009 pour prendre la tête de la nouvelle Direction du renseignement de la Préfecture de police de Paris (DRPP)[8], Patrick Calvar devant, quant à lui, être remplacé à son poste au début de l'année 2010 par Frédéric Veaux, jusqu'à présent sous-directeur à la Direction centrale de la police judiciaire[9].
En 2008, la DCRI a débuté son existence publique et médiatique avec l'« affaire de Tarnac ».
En décembre 2008, le siège de la DCRI fait l'objet d'un projet d'attentat orchestré par un islamiste de la région parisienne[10].
Organisation
Son siège est situé dans l'immeuble des services de renseignement, ultrasécurisé, inauguré en mai 2007, au 84, rue de Villiers, à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine)[11].
En 2009, elle était composée de 3 306 fonctionnaires, soit la totalité des effectifs de la DST et une petite majorité de ceux de la Direction centrale des Renseignements généraux (RG), dont près de 2 500 policiers dits actifs et habilités Secret défense et 164 commissaires de police. Ces policiers et commissaires habilités sont implantés au siège de la direction (1 616 fonctionnaires à la centrale de Levallois-Perret) et par zone dans chaque département (1 390 fonctionnaires en province)[2].
Le 15 janvier 2009, la DCRI se voyait notifier, au titre de la RGPP, une déflation quadriennale de 400 personnels, soit 12 % de ses effectifs, de manière à atteindre 2 922 équivalents temps plein travaillé au 31 décembre 2011[12].
La DCRI compte un état-major et huit sous-directions[13],[14].
La France sera découpée en 7 zones de renseignements avec Paris et 6 directions régionales appelées DZRI (Directions de zonages de renseignement intérieur)
- Paris
- Lille
- Rennes
- Metz
- Bordeaux
- Marseille
- Lyon
La DCRI dispose d'un groupe d'intervention propre le GAO (Groupe d’Appui Opérationnel) composée de 18 opérateurs, qui sont aussi des enquêteurs, pour procéder aux interpellations et aux effractions des portes.
Direction
- directeur central du renseignement intérieur : Bernard Squarcini dit "Le Squale"
- directeur central adjoint opérationnel du renseignement intérieur : Michel Guérin[15]
- directeur central adjoint organique du renseignement intérieur : Maurice Bailly
- chef d'état-major : Max Torossian[16] en remplacement de Lucile Rolland, Philippe Jumel
- chef du personnel : Jean-Yves Guillard
- sous-direction de l'analyse, de la prospective et des faits de société : Pierre Montastier
- sous-direction de la recherche : Jean-Pierre Gilly
- sous-direction des ressources et des méthodes : Denis Tromeur
Sous-directions | Responsables |
---|---|
sous-directeur du contre-terrorisme (direction C)[17] | Michel Guérin |
adjoint au sous-directeur du contre-terrorisme | |
adjoint au sous-directeur du contre-terrorisme | |
chef de division à la sous-direction du contre-terrorisme | |
sous-directeur des technologies du renseignement | Michel Pages |
adjoint au sous-directeur des technologies du renseignement | |
chef de division à la sous-direction des technologies du renseignement | |
sous-directeur de la subversion violente | Françoise Bilancini |
adjoint au sous-directeur de la subversion violente | |
chef de division à la sous-direction de la subversion violente | |
sous-directeur de l'administration générale | Régine Louet (anciennement Thierry Matta) |
adjoint au sous-directeur de l'administration générale | |
chef de division à la sous-direction de l'administration générale | |
sous-directeur des supports | |
adjoint au sous-directeur des supports | |
chef de division à la sous-direction des supports | |
sous-directeur du contre-espionnage | Jean Pétronille |
adjoint au sous-directeur du contre-espionnage | |
chef de division à la sous-direction du contre-espionnage | |
sous-directeur des affaires internationales | Éric Toucas |
adjoint au sous-directeur des affaires internationales | |
chef de division à la sous-direction des affaires internationales | |
sous-directeur de la protection économique | Marc Pimond[18] |
adjoint au sous-directeur de la protection économique | |
chef de département à la sous-direction de la protection économique | |
chef du département des affaires judiciaires | |
chef du département de la stratégie | |
chef du département de la sécurité | |
chef du service technique de la DCRI à Boullay-les-Troux |
De plus, ont délégation de signature à la création de la DCRI : Philippe Azimont, Thierry Bayle, Jean-Marc Allais, Pierre Seigle, Stéphane Kyre (Responsable du Bureau protection du patrimoine à la Direction de la Surveillance du Territoire en 2007[19]), Fabrice Lefebvre, Yann Le Norcy, Dominique Roulière, Maryse Desmoulin, Henri-Michel Robert, Benoît Silvestre, François-Emmanuel Macou, Henri Bourdiol, Frédéric Mialot, Jean-Jacques Piec, Véronique Le Rest, Patrick Routier, Marc De Gantes, Olivier Laval, Florence Lalanne, Philippe Santarossa, Jean-Pierre Gilly, Laetizia De Bernardi, Laurent Besse, Myriam Abassi, Martine Astor, Henri Guitard, Jean-Marie Blanchet, Agnès Federicci-Courson, Laurence Corrieri, Véronique Virginie, Jean-François Fauroux, Valérie Hatsch, Marie-Laurence Louis, Christelle Petitjean-Wilt, Michel Lemee, Gilles Hardy, Ludovic Bia, Jean-Luc Tondu, Alexis Weber, Grégory Frelly, Bernard Sarrand, Pascal Hablot, Marie-Christine Roncière, Olivier Monfrini, Jean-François Grandmougin (expert en criminalité informatique à la DST en 2001[20]).
En septembre 2009, Franck Gellet, adjoint à la Direction Afrique du nord Moyen-Orient au ministère des Affaires Etrangères, devient le conseiller diplomatique de la DCRI. Il remplace Paul Dahan[21].
Les structures et le fonctionnement de la DCRI sont couverts par le « Secret Défense ». Les services de la DCRI relèvent du seul directeur central à l'exclusion de tout autre subordination territoriale (ex : les Directions départementales du renseignement intérieur — DDRI — ne relèvent pas des préfets de départements).
La sous-direction des « Courses et jeux » de la DCRG (environ 120 hommes, plus une cinquantaine de correspondants en province) a été transférée à la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) sous la forme d'un Service central des courses et des jeux (SCCJ). Quant à la Préfecture de police de Paris, elle conserve ses propres agents des RG mais le service se voit rebaptisé Direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP) (682 hommes)[22].
Les effectifs ex-RG non rattachés à la DCRI, encore trop peu nombreux (la DCRI étant au contraire en sureffectif notable à sa création), sont rattachés à la SDIG (Sous direction de l'information générale) de la DCSP (Direction centrale de la sécurité publique) et à ses implantations départementales, qui regrouperait 680 policiers (sur 950 prévus) — dont 80 au niveau de l'administration centrale — et 450 administratifs chargés du milieu ouvert jusqu'ici à la charge des DDRG (Directions départementales des RG). Pour atteindre en partie les niveaux d'effectifs requis en SDIG, les fonctionnaires des BIVP (Brigades d'information de voie publique) des grandes agglomérations pourraient rejoindre ses rangs, 62 d'entre eux étant déjà partants, tandis que des postes disparaîtront au contraire à la DCRI sans doute au fil des départs en retraite, le nombre de commissaires devant par exemple se limiter à 152, et 400 postes devant disparaître d'ici à 2011, puisque 2922 équivalents temps plein travaillé sont prévus pour la DCRI au 31 décembre 2011.
La DCRI serait dotée d'un fichier nommé Cristina (Centralisation du renseignement intérieur pour la sécurité du territoire et des intérêts nationaux), classé « secret défense », qui, outre des données personnelles sur les personnes fichées, engloberait leurs proches et leurs relations. En vertu de dispositions de la loi informatique et libertés concernant les fichiers de sécurité nationale, il n'est pas soumis au contrôle de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL). Il est né le 1er juillet 2008 de la fusion d'une partie du fichier des Renseignements généraux, et de celui de la DST[23].
Missions
Les missions de la DCRI sont inspirées de celles anciennement confiées à la DST et aux RG :
- La lutte contre le terrorisme islamiste est assignée comme une priorité absolue
- prévention et lutte contre les ingérences et les menaces étrangères (contre-espionnage),
- prévention et lutte contre le terrorisme et de tout acte « visant à porter atteinte à l'autorité de l'État, au secret de la défense nationale ou au patrimoine économique du pays »,
- surveillance des communications et lutte contre le cybercrime,
- surveillance des mouvements, groupes ou organisations subversifs violents et des phénomènes de société précurseurs de menaces[5],[6].
- lutte contre la prolifération des armes nucléaires, bactériologiques, chimiques, et balistiques.
- politique publique et d'intelligence économique
- surveillance des entreprises françaises privées et publiques (technologiquement et industriellement sensible)
- surveillance de l'islam radical et de la communauté salafiste française
- surveillance des mouvements d'ultra gauche et autonome anarchiste
Pour remonter les traces de communications entre les membres d'un réseau, la DCRI possède depuis mai 2007, à Levallois, une mini-plate-forme qui permet de récupérer auprès des opérateurs de téléphonie la liste de tous les appels entrant et sortant sur l'ensemble des lignes d'un abonné, de se faire communiquer ses documents d'inscription avec son adresse et ses coordonnées bancaires. Ses agents peuvent aussi exiger de connaître tous les sites Internet ou adresses de forum sur lesquels un terroriste présumé a pu se connecter. Qu'il s'agisse d'un appel sur mobile, d'un courriel ou d'un simple texto, les «grandes oreilles» de la République peuvent ainsi savoir à tout moment qui a contacté qui, où et quand.
Recrutement
Triés sur le volet, tous sont appelés à être habilités au secret-défense après que leur vie privée a été passée au crible par un redoutable service interne de sécurité. «Tous, même les plus irréprochables, ont fait l'objet d'une minutieuse enquête de personnalité pour traquer la moindre vulnérabilité, confie-t-on à la Direction générale de la police nationale.
À l'exception de l'analyse des mouvements sociaux, les missions de la DCRI sont considérées comme relevant du « Secret Défense ».
Activités
2009
Le 19 octobre 2009, la DCRI procède à l'arrestation de deux membres d'ETA à Carnac[24].
En octobre 2009, Adlène Hicheur est gardé à vue à la DCRI[25].
En novembre 2009, la DCRI semble très active sur le dossier iranien, en particulier en ce qui concerne l'extradition de Majid Kakavand aux États-Unis, la libération de Clotilde Reiss, les mouvements de l'ambassadeur iranien en France, Seyed Mehdi Miraboutalebi, la centrale de Tricastin et les intérêts de Total en Iran[26].
Dans l'affaire de Tarnac, en novembre 2009, la défense indique des incohérences dans les rapports de la DCRI[27].
En décembre 2009, Patrick Calvar, Directeur adjoint opérationnel et numéro deux de la DCRI, a été nommé directeur du renseignement de la DGSE, Michel Guérin est pressenti pour le remplacer, mais ce sera Frédéric Veaux[15],[28].
2010
En mai, 12 islamistes sont interpellés.[réf. nécessaire]
À l'été 2010, cherchant la source d’un article du Monde sur l’affaire Bettencourt, la DCRI a enquêté sur les relevés téléphoniques du conseiller pénal de Michèle Alliot-Marie, ministre de la justice, David Sénat, sans saisir de juge, ni la CNCIS[29].
Le 25 août 2010, Franck Gellet quitte la DCRI pour le poste de secrétaire général de la présidence française du G20 et du G8[30].
Début octobre, des interpellations ont lieu dans le milieu islamiste[31].
En octobre 2010, Eric Bellemin-Comte, adjoint au sous-directeur de la protection économique, communique sur la vulnérabilité informatique[32] et Serge Guillen, le patron de la sous-direction de l’information générale (SDIG), service complémentaire de la DCRI né de la réorganisation du renseignement, démissionne[33].
Pendant les manifestations d'octobre 2010, Bernard Thibault indique avoir reçu un appel de la DCRI qui lui indiquait à 10h du matin le chiffre de manifestants que la préfecture de police annoncerait dans l'après-midi, donc arbitraire[34].
Le budget 2011 n'est pas connu car intégré à celui de la police nationale, qui augmente de 12 % par rapport à l'année précédente. Il était de 41 millions d'euros en 2008[35].
En novembre 2010, la DCRI interpelle deux personnes qui pourraient être impliquées dans un attentat commis en février 2009 au Caire[36] et quatre hommes soupçonnés de préparer des attentats en France[37].
Le 21 novembre 2010, la DCRI est moquée par l'équipe de l'émission Action Discrète pour ses supposées intrusions dans les rédactions des journaux français[38].
Le 24 novembre 2010, Le Canard enchaîné accuse la DCRI d'espionner sans autorisation des ordinateurs privés. La DCRI n'a pas souhaité s'exprimer, afin de « ne pas alimenter de polémique »[39].
2011
Après la mort d'Oussama ben Laden, le directeur de la DCRI affirme que la France est aujourd'hui l'ennemi n°2 d'Al-Qaida, après les États-Unis, et considère AQMI comme la principale menace pour la France[40].
Début 2011, la DCRI, saisie par le parquet de Paris,lance une enquête préliminaire sur «l'affaire Renault» qui a licencié 3 de ses cadres en les accusant d'espionnage industriel au profit d'une filière internationale organisée, sur son projet de voiture électrique. Une lettre anonyme serait à la base des accusations portées par le constructeur. La DCRI procède à des perquisitions et des interrogatoires[41].
Controverse
En 2010, à l'occasion de l'affaire Woerth-Bettencourt, la DCRI est accusée d'espionner des journalistes pour identifier leurs sources[42] et Le Canard enchaîné, par la voix de son rédacteur en chef Claude Angeli, affirme que Nicolas Sarkozy supervise personnellement la cellule chargée de ces activités clandestines[43].
Cette même année, la DCRI a également officiellement enquêté sur les rumeurs visant le couple Sarkozy sur demande du directeur de la Police Nationale « afin d'essayer de déterminer si les rumeurs visant le couple présidentiel ne cachaient pas une éventuelle tentative de déstabilisation »[44],[45].
En 2011, la DCRI est mise en cause dans l'Affaire Dominique Strauss-Kahn. Jean-Jacques Urvoas, secrétaire national chargé de la sécurité au PS, a écrit à Bernard Squarcini pour savoir si, comme l'affirmait le journal Le Monde[46], un service de la DCRI enquêtait sur « la vie privée de certaines personnalités politiques susceptibles de présenter un jour un danger électoral », ce qui a été immédiatement démenti par le Ministère de l'Intérieur[47]. Le 3 juillet, le député socialiste de l'Eure, François Loncle, accuse la DCRI via son directeur de connexions politiques avec le groupe Accor et le directeur du Sofitel[48]. Le lendemain, Bernard Squarcini déclare n'avoir jamais été en relation avec le directeur du Sofitel ni avec aucun responsable du groupe Accor, et dément toute intervention de ses services dans l'affaire DSK. Il menace également de poursuites judiciaires toute personne qui mettrait en cause la DCRI dans cette affaire[49].
En janvier 2012, Yves Bertrand, ancien patron des Renseignements généraux, estime dans un entretien à Mediapart, qu'« on ne fusionne pas un service dont la vocation est avant tout judiciaire et opérationnelle, comme la DST, avec un service d’information, comme les RG, qui n’a pas d’attribution judiciaire – mis à part les courses et jeux » sinon pour créer une « police politique », ce qui représente à ses yeux une « atteinte aux libertés énorme »[50].
Évocations artistiques
Jean-Marie Winling interprète le directeur de la DCRI dans le film Une affaire d'État sorti en 2009[51].
Notes et références
- ↑ Budget de l'ensemble du renseignement intérieur
- ↑ a et b (fr) Site du syndicat national des officiers de police, chiffre en janvier 2009
- ↑ Article de LeMonde.fr
- ↑ Article de LeFigaro.fr
- ↑ a et b Décret n° 2008-609 du 27 juin 2008 relatif aux missions et à l'organisation de la Direction centrale du renseignement intérieur, lire sur Légifrance
- ↑ a et b Communiqué du ministère de l'Intérieur (mis à jour au 02/07/2008).
- ↑ Discours du ministre de l'Intérieur français du 17 septembre 2007 [lire en ligne]
- ↑ PPrama, lettre d'information de la Préfecture de police de Paris, 3 juin 2009
- ↑ Jean Michel Décugis, Armel Mehani, « Changements à la tête du renseignement », Le Point, 24 décembre 2009. Consulté le 27 décembre 2009
- ↑ Un apprenti terroriste voulait « faire sauter » la Direction du renseignement, Le Figaro, 10 mars 2009. Consulté le 18 août 2009
- ↑ (fr) « La DCRI : un FBI à la française », Le Figaro, 30 juin 2008.
- ↑ Rapport de M. Michel Diefenbacher sur le projet de loi de finances pour 2010 (n°1946)
- ↑ "Document et informations parlementaires" SGP 7 juillet 2008, p.6 à 8
- ↑ « La DCRI en ordre de marche », Intelligence Online, 26 juin 2008.
- ↑ a et b http://www.latribune.fr/blogs/le-blog-intelligence-economique-de-pascal-junghans/20091224trib000456237/exclusif-guerin-va-remplacer-calvar-comme-n2-de-la-dcri.html
- ↑ http://www.intelligenceonline.fr/renseignement-d-etat/les-organisations/2010/10/07/max-torossian,85686305-BRE
- ↑ http://blog.latribune.fr/blogpascal/?p=219
- ↑ « Marc Pimond », dans Intelligence Online, no 632, 06 janvier 2011 (ISSN 1630-6589) [texte intégral (page consultée le 5 janvier 2011)]
- ↑ http://veillegratuite.over-blog.com/article-6879892.html
- ↑ http://www.g9plus.org/Archivemanifestations.asp?an=2001
- ↑ http://blog.lefigaro.fr/malbrunot/2009/09/echos-du-quai-dorsay.html
- ↑ (fr) Grand Paris: un grand pari !, Site du Syndicat national des officiers de police, 19 juin 2009.
- ↑ « Edvige, Cristina, Ardoise : la difficile mobilisation contre les fichiers de police », Le Monde, 24 juillet 2008.
- ↑ http://www.lemonde.fr/europe/article/2009/10/19/un-responsable-politique-de-l-eta-arrete-en-bretagne_1255750_3214.html
- ↑ http://www.francesoir.fr/faits-divers/2009/10/16/ingenieur-islamistes.html
- ↑ (fr) La DCRI active sur le dossier iranien
- ↑ (fr) Tarnac, l'histoire sans fin, 3 novembre 2009.
- ↑ http://www.lepoint.fr/actualites-societe/2009-12-24/changements-a-la-tete-du-renseignement/920/0/408176
- ↑ http://www.liberation.fr/societe/01012303335-espionnage-bakchich-nouvelle-cible
- ↑ http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do;jsessionid=?cidTexte=JORFTEXT000022741159&dateTexte;=&oldAction;=rechJO&categorieLien;=id
- ↑ http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5g1arB5qPQDk-PDSoIH-QGSpmbfxw?docId=CNG.0eab1dc129b265f4dd5f25b8a8b9ee14.b81
- ↑ http://www.lexpress.fr/actualite/la-dcri-a-l-assaut-des-virus_930380.html
- ↑ http://www.marianne2.fr/Exclusif-le-N-2-du-Renseignement-claque-la-porte_a198740.html
- ↑ http://blog.rtl.fr/aphatie/20101007/comment-selon-bernard-thibault-la-police-truque-les-chiffres-des-manifestants-07-10.html
- ↑ http://zonedinteret.blogspot.com/2010/11/un-il-sur-le-futur-budget-du.html
- ↑ http://www.lemonde.fr/societe/article/2010/11/16/interpellations-dans-les-milieux-islamistes_1440664_3224.html
- ↑ http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5g6EfMnwxsyYdJxCuigqgm4b5G7QA?docId=CNG.e956eebc98dd9dba17052dcf437bbc33.3f1
- ↑ http://www.canalplus.fr/c-humour/pid1780-c-action-discrete.html
- ↑ http://www.europe1.fr/France/Le-Canard-met-de-nouveau-en-cause-la-DCRI-316867/
- ↑ Al-Qaida: "la France, cible n°2" (DCRI) sur le site du Figaro, le 6 mai 2011.
- ↑ Le torchon brûle entre Renault et le contre-espionnage sur le site du Figaro, le 26 janvier 2011.
- ↑ « Exclusif : Matignon rappelle à l’ordre le ministère de l’Intérieur dans l’affaire des écoutes », France Info, 10 novembre 2010.
- ↑ « "Le Canard enchaîné" dit être sous le coup d'une enquête de la DCRI », LeMonde.fr, 9 novembre 2010.
- ↑ Rumeurs sur le couple Sarkozy: la DCRI a enquêté sur le site de France 2, le 9 avril 2010.
- ↑ La DCRI a enquêté sur les rumeurs visant le couple Sarkozy sur le site de l'Express, le 8 avril 2010.
- ↑ Sexe, politique et police des mœurs sur le site du Monde, le 24 mai 2011.
- ↑ DSK: pas de note policière (Intérieur) sur le site du Figaro, le 11 juillet 2011.
- ↑ Des proches de DSK dénoncent un complot sur le site de France 2, le 6 juin 2011.
- ↑ Le patron des Renseignements intérieurs dément être intervenu dans l'affaire DSK sur le site Le Monde, le 4 juillet 2011.
- ↑ Fabrice Arfi et Karl Laske, « L’ancien patron des RG révèle l’existence d’un système d’écoutes sauvages », Mediapart, 20 janvier 2012.
- ↑ http://www.excessif.com/cinema/critique-une-affaire-d-etat-4917932-760.html
Voir aussi
Articles connexes
Lien externe
- Organisation du pôle du renseignement de la DGPN au 13 septembre 2007
- La DCRI, un FBI à la française, Le Figaro, 26 juin 2008.