Française des jeux
- Wikipedia, 31/01/2012
La Française des Jeux | |
Logo de la Française des Jeux[1] |
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Création | 1976 |
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Forme juridique | SAEM |
Siège social | 126 rue Gallieni Boulogne-Billancourt (France) |
Direction | Comité Exécutif : Christophe Blanchard-Dignac (PDG), Charles Lantieri (directeur général délégué), Patrick Buffard (DGA Marché et clients, Pascal Chaffard (Directeur Stratégie et Transformation), Roland de Villepin (DGA Finances et Régulation), Claude Boivin (Directeur des Opérations), Laetitia Olivier (Directeur de la Communication |
Actionnaires | État français (72%) ; émetteurs historiques de la Loterie nationale (20%) : Union des blessés de la face et de la tête (9,2%), Fédération Maginot (4,2%), IDSUD (2,6%), Confédération des débitants de tabac (2%), Mutuelle du Trésor (1%), Comalo (0,6%), Émissions Berger (0,4%) ; FCP des salariés de la société (5%) ; groupement de courtiers Soficoma (3%) |
Activité | Jeux d'argent (en France et dans les collectivités d'outre-mer, et à Monaco) |
Produits | Jeux de loterie (dont Loto et Euro Millions), de grattage et de paris sportifs |
Filiales | LotSys, la Pacifique des Jeux (Polynésie française), FDJ Développement (Guyane), Le Havre Jeux Distribution, la Française de Motivation, la Française d'Images, la Française de Patrimoine, la Société de Gestion de l'Échappée (SGE), LVS |
Effectif | 1065 collaborateurs |
Site web | www.francaisedesjeux.com |
Chiffre d’affaires | 10,551 Mds€
9,997 Mds€ (2009), 9,2 Mds€ (2008), 9,306 Mds€ (2007), 9,473 Mds€ (2006), 8,926 Mds€ (2005), 8,559 Mds€ (2004) |
Résultat net | 114 millions d’€ (2007) 116 M€ (2006), 253 M€ (2005), 127 M€ (2004), 63 M€ (2003), 107 M€ (2002) |
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La Française des Jeux est une entreprise publique française de 1976 détenue à 72 % par l'État français qui lui a confié le monopole des jeux de loterie et de paris sportifs sur tout son territoire, départements d'outre-mer inclus, ainsi que dans la collectivité territoriale de Saint-Pierre-et-Miquelon, la collectivité d'outre-mer de la Polynésie française et la principauté de Monaco.
Sommaire |
Historique
Héritière de la Loterie nationale française, elle s'appellera successivement « Société de la Loterie nationale et du Loto national » (SLNLN) en 1976, puis « France Loto » en 1989. Ce changement de nom, cette année-là, marque aussi une profonde restructuration de l'entreprise. La participation de l'État passe de 51 à 72 %, celle des émetteurs de billets de 49 à 20 % et les salariés et les courtiers sont autorisés à entrer dans le capital à hauteur de 5 et 3 %. Le capital est augmenté de 20 à 500 millions de francs (3 à 76 millions €) ce qui permet des investissements importants. Deux ans plus tard en 1991, elle change de nouveau de nom et devient « la Française des Jeux » .
Le succès du Loto en 1976, grâce aux progrès de l'informatique et aux tirages télévisés a largement contribué au renouveau de l'entreprise.
Le principe de territorialité régit l'activité de la plupart des loteries dans le monde. Mais l'intégration européenne et les nouvelles technologies comme Internet risquent de modifier dans les pays de l'Union européenne cette situation de monopole. La Française des Jeux se trouve ainsi concurrencée par des loteries ou sociétés de paris en ligne sur Internet. La Française des Jeux a entamé une coopération avec d'autres loteries d'État européennes, lançant ainsi un jeu de tirage commun, Euro Millions avec les loteries britannique et espagnole, rejointes en 2004 par les loteries de six autres pays : Autriche, Belgique, Irlande, Luxembourg, Portugal et Suisse.
Les missions qui sont confiées à la Française des Jeux créent des devoirs en termes de gestion : la Française des Jeux a contribué en 2005 pour 2 330 000 000 € aux finances publiques et à la couverture des risques à travers les prélèvements opérés sur les mises au profit de l'État, du sport ou des finances sociales.
Le 28 octobre 2009, la Française des Jeux annonce qu'elle a décidé d'utiliser une marque commerciale plus courte « FDJ » afin de simplifier et renforcer son image, quelques mois avant l'ouverture à la concurrence du marché français des jeux d'argent en ligne[2]. Elle dévoile également un nouveau logo pour cette marque avec un trèfle à quatre feuilles modernisé. Dans le même temps, l’entreprise a renforcé sa marque institutionnelle La Française Des Jeux grâce à un nouveau site Internet dédié.www.francaisedesjeux.com
Le réseau
Sur les 10 milliards d’euros de mises en 2010, 97% ont été collectées au sein du réseau des détaillants. La Française Des Jeux représente le premier réseau de proximité en France. Le réseau de vente compte 36 600 points de vente (soit un pour 1 700 habitants) comprenant des bureaux de tabac, des bars et diffuseurs de presse en métropole, épiceries de village et stations services en outre-mer. En 2009, 484 M€ de commissions ont été versées aux détaillants. Le Jeu Responsable La Française Des Jeux s’est donnée comme mission de donner des moyens et apporter des solutions afin de permettre à tous les joueurs de se divertir en toute sérénité, dans des conditions de sécurité qui minimisent le plus possible le risque de dépendance aux jeux. L’entreprise a mis en place 5 grands engagements en matière de jeu responsable : promouvoir des jeux avant tout récréatifs, accompagner les joueurs, sensibiliser tous les acteurs de la filière, contribuer au développement et à la diffusion de la connaissance scientifique et, orienter et soutenir les personnes en détresse ainsi que leur famille.
Le Loto de la Française des Jeux
Sur un projet élaboré par Maurice Caradet, à la tête de la Loterie Nationale, depuis le 16 septembre 1974, le Loto, jeu national, est né en France en 1975 d'un décret signé par Jacques Chirac, Premier Ministre, et Jean-Pierre Fourcade, Ministre de l'Économie et des Finances, Christian Poncelet étant Secrétaire d'État au Budget. Le premier tirage aura lieu en public au théâtre de l'Empire à Paris le mercredi 19 mai 1976, 73 680 bulletins seulement avaient été enregistrés pour un total de 50 600 francs. Dès lors, le nombre des bulletins et le montant des mises vont croitre de semaine en semaine jusqu’à atteindre, au 1er anniversaire en mai 1977 un 1er grand record, salué en France comme un phénomène de société et retentissant à l’étranger. Il est organisé par la Française des jeux (anciennement Loterie nationale puis Loto national), un monopole d'État, qui a réalisé un chiffre d’affaires de 1,538 milliards d’euros en 2010. La moitié (50,5 %) est redistribuée aux joueurs et le reste finance principalement le centre national pour le développement du sport à hauteur de 177 millions d’euros en 2010.
Au début, seule la région parisienne avait des points de vente (1 000 en 1976). Durant l'été 1977, l'ensemble du territoire est progressivement couvert. Puis au début de l'année 1978, il est possible d'acheter des bulletins dans les départements d'Outre-Mer. Il existe aujourd’hui 36 600 points de vente.
En septembre 1976 un premier gagnant fait la une de la presse. La semaine suivante, le nombre de bulletins monte brusquement à 250 000. Un mois après, un million de bulletin sont vendus puis les ventes progressent d'un million par mois jusqu'en mai 1977 où l'on enregistre le record de 7 millions de bulletins par semaine, un an après le lancement.
En France, Maurice Caradet, alors président de la Société de la Loterie nationale et du Loto national (SLNLN), confiera dès 1980 la production de tous les tirages télévisés de la société qu'il dirige à Gilbert Richard, ex-producteur de nombreuses émissions télévisées pour la jeunesse. Sous sa responsabilité, entre 1980 et 1992, plusieurs animateurs du Loto ont été chargés de présenter les numéros gagnants aux téléspectateurs : citons entre autres, Annie Poirel, Jean-Marc Laurent, Évelyne Biazzi, Daniel Richard. Par la suite, Valérie Payet et David Martin prirent la relève.
Le chiffre d'affaires du loto est redistribué aux gagnants pour 50,5 % (exonéré d'impôts), à la société La Française des Jeux pour 12 %, et à l'État pour 37,5 % sous forme de taxes et de dividendes. Les Gueules cassées, une association née après la Première Guerre mondiale, actionnaire historique de la Loterie nationale perçoit également des dividendes.
Ces dernières années, le Loto a subi de nombreuses évolutions :
- 10 mars 1984 : un deuxième tirage hebdomadaire est introduit le samedi.
- 2 septembre 1990 : le Loto « 4 tirages » est lancé.
- 13 septembre 1992 : le Loto « Système Flash » (formule simple) fait son apparition. Avec ce système, le joueur se voit attribuer aléatoirement une combinaison par un terminal informatique.
- 19 juin 1994 : lancement du Loto « Système Flash multiple » ;
- 16 juin 1996 : la Française des Jeux lance la formule « Loto rénové » ;
- 12 octobre 1997 : c'est le « nouveau Loto » ;
- 5 octobre 2008 : le « numéro complémentaire disparait pour laisser sa place au numéro chance. La mise minimale est de 2 euros (une seule grille, un seul tirage) au lieu de 1,20 euro (pour 2 grilles et 2 tirages) ;
- 6 octobre 2008 : un troisième tirage hebdomadaire est introduit le lundi.
Présidents
- 1er Janvier 1979-1983 : Maurice Caradet, Président fondateur de la Société de la Loterie nationale et du Loto national (SLNLN)
- 1983-1987 : Michel Caste
- 1987-1989: Jean-Pierre Teyssier
- 1989-1993 : Gérard Colé
- 1993-2000 : Bertrand de Gallé
- Depuis 2000 : Christophe Blanchard-Dignac[3]
Né en 1953, issu de l'ENA,il a travaillé à différentes reprises au Ministère de l’Economie et des Finances dans le département du budget puis à la caisse nationale du Crédit Agricole et à La Poste. Il est devenu Président Directeur Général de la Française des Jeux en octobre 2000. Il est aussi membre du comité exécutif de la WLA (World Lottery Association) et vice président de la ESLTA (European State Lottery and Toto Association.)
Identité visuelle
Résultats
Quelques chiffres
- Bulletins validés: 4 557 948 242
- Chiffre d'affaires (2010): 44 257 482 535 euros
- Sommes redistribuées: 23 782 002 529 (soit 50,5 % du CA)
- Gagnants à 6 numéros: 15 489
- Gagnants supérieurs à 2 millions d'euros: 714
- Gain record au Loto: 24 millions d'euros le 06/06/2011
- Gain record au Super-Loto: 150 077 770 de Francs (Soit 22 879 209 €) le 20 mars 1997 à Asnières
- Jackpot record Super-Loto: 30 009 676 € le 26/05/2006 (15 millions d'euros pour les 2 gagnants)
- Gain record au Euro Millions: 162 256 622 euros le 13/09/2011
Chiffre d'affaires
- En 2000 : 6,5 milliards €
- En 2004 : 8,55 milliards €
- En 2005 : 8,9 milliards €
- En 2006 : 9,473 milliards €[4]
- En 2007 : 9,306 milliards €[4]
- En 2008 : 9,203 milliards €[4]
- En 2009 : 9,997 milliards €[4]
- En 2010 : 10,551 milliards €[4]
Les différents jeux
Jeux de tirage
- Loto
- Euro Millions
- Keno
- Joker +
- Rapido
- Bingo Live (jeu en ligne)
- Amigo
Jeux de grattage (ou jeux instantanés)
La répartition des tickets perdants et gagnants est artificiellement contrôlée et répond à un cahier des charges extrêmement précis, validé au JO (journal officiel), et appelé "plan de lot". Dans les premières versions du Millionnaire, par exemple, le plan de lot était de 750 000 tickets, dans lesquels on devait trouver 1 gagnant TV, 3 gagnants à 50 000 FF, 8 gagnants à 20 000 F, etc... jusqu'aux milliers de gagnants à 10 FF. Tous ces gagnants représentaient une redistribution proche de 64%... La création de la CSG et de la RDS ont modifié les plans de lots sans changer le prix de vente ni la somme maximum que le gagnant peut empocher. Les prélèvements sociaux se font à la source, en diminuant le nombre de gagnants dans le plan de lot. Les lots de production correspondent aux plans de lots et sont générés par des programmes informatiques dont le but est double :
- garantir le respect du plan de lot et les redistributions des gains aux joueurs.
- créer artificiellement une distribution aléatoire (hasard contrôlé). En effet, sans contrôle de distribution des gagnants au sein des perdants, la probabilité existerait d'avoir tous les tickets gagnants au sein d'un même livret. Même si le hasard n'est pas réel dans la génération des tickets, il est garanti dans la distribution des caisses de livrets car personne, y compris les imprimeurs ou les employés de la FDJ ne peut savoir si une caisse contient des gros gagnants ou pas.
- Jeux de grattage permanents
- XIII
- 7 Extra
- Astro
- Banco
- Black Jack
- €ash
- Crescendo
- Dede
- Goal
- Millionnaire
- Morpion
- Numéro Fétiche
- Solitaire
- Super Bingo
- Vegas
- Vegas Brandon
- Vegas Brenda
- Vegas Palace
À cela s’ajoute, des jeux exclusivement online (Creatio, Eldorado,…) et des jeux éphémères (XV de France, 2011 une année de rêve, Vacances à vie,…)
Paris Sportifs
Depuis le 3 novembre 2009, FDJ a lancé la plateforme Parions Web pour faire face à la concurrence des jeux en ligne sur internet (Betclic, Unibet, Bwin...) et Parions Sport dans son réseau de proximité (bar/tabacs/presse).
Il est possible de parier sur les matches de football, de tennis, de handball, de basket-ball et de volleyball, les grand-prix de Formule 1,de rugby, de moto GP, de rallye, de golf, de ski et de hockey sur glace.
Loto foot
Ce jeu était anciennement baptisé "loto sportif". 2 formules :
- Loto foot 7
- Loto foot 15
Sponsor sportif
La Française des Jeux finance l'équipe cycliste La Française des Jeux depuis 1997.
La Française des Jeux contribue pour environ 200 000 000 € à la vie du sport en France via le Centre national pour le développement du sport (CNDS) grâce à un prélèvement spécial sur les mises des joueurs, qui comporte une part fixe et une part variable, cette dernière étant plus particulièrement destinée à financer le projet national de développement du sport (PNDS).
La Française Des Jeux est aujourd’hui le premier partenaire du sport français. Différents partenariats ont été signés avec les Fédérations Françaises de Rugby, de Basket-ball, de Handball, de Volley-ball et de Tennis et la Ligue de Football Professionnel.
Mécénat
Afin de développer des actions de mécénat, la Française des Jeux a créé en 1993 la Fondation de la Française des Jeux.
A travers les actions de sa Fondation, dont la plupart sont en lien direct avec le sport, la Française des Jeux joue concrètement un rôle solidaire dans la société, en s’attachant à y promouvoir l’égalité des chances pour tous.
Autres actions de mécénat :
- 2007-2009 : restauration de la statue de Louis XIV de Versailles.
Affaires judiciaires
Le 30 novembre 2007, suite à la plainte d'un joueur qui conteste l’intégrité des jeux de grattage, le PDG de la société a été convoqué au tribunal[5],[6],[7],[8],[9],[10].
La Française des Jeux (FDJ) a été déboutée, le mercredi 26 novembre 2008, de la plainte en diffamation qu'elle avait déposée contre Robert Riblet. Depuis 3 ans environ, cet ingénieur a la retraite dénonce de graves irrégularités dans les jeux de grattage mis en vente par la FDJ. Lors d'une intervention sur la radio Europe 1, en février 2006, Robert Riblet avait accusé la FDJ de « tricherie organisée »[11]. Le tribunal correctionnel à Paris lui a accordé le bénéfice de la bonne foi en estimant que le propos « pour vif qu'il soit, ne dépasse pas les limites admissibles de la liberté d'expression dans une telle controverse ».
Une instruction est toujours en cours au tribunal de Nanterre (Hauts-de-Seine) pour « escroquerie et abus de confiance ». Le problème avancé par le plaignant est que le hasard des jeux de grattage est en fait contrôlé par un cahier des charges. C'est une réalité qui permet d'éviter la distribution de tous les gagnants dans un même livret, ou une même caisse, donc dans un même bureau de tabac ou une même ville mais aussi qui permet d'inciter les joueurs à jouer plus.
Les contraintes de la Française des jeux sont les suivantes :
- Il n'y a pas plus de trois perdants de suite dans un carnet ;
- Un minimum de gain est garanti par carnet ;
- Il n'y a pas plus d'un gagnant supérieur à X€ par livret ;
- tous les tickets de Millionnaire ont au moins une TV ;
- tous les tickets ont au moins une paire quand il faut 3 symboles identiques pour gagner ;
- tous les tickets perdants indiquent une somme importante (excepté le Banco).
Le plan de distribution des gagnants étant validé au journal officiel, le règlement complet des jeux est disponible auprès de la FdJ sur simple demande. Le dos des tickets mentionne depuis 2007 que le jeux n'est pas totalement aléatoire[11],[12].
Autres sociétés françaises de jeux d'argent
- PMU : monopole des paris sur les courses hippiques, courses canines et les matchs de pelote basque (soumis au contrôle du ministère de l'Intérieur, et à la contribution au financement des sociétés et élevages hippiques et sportifs, organismes de formation professionnelle et centres d’entrainement sportif).
- Casinos : monopole des jeux de table et machines à sous (soumis à l'autorisation et au contrôle du ministère de l'Intérieur, et à l'obligation de participation à l'organisation ou au financement d’évènements culturels locaux).
- Jeux d'argent et de hasard en ligne : depuis le mois de juin 2010, l'Autorité de régulation des jeux en ligne (ARJEL) a délivré 38 licences à 27 opérateurs de jeux en ligne agréés[13].
Compléments
Bibliographie
- Une affaire sous François Mitterrand, Frédéric Ploquin, Fayard, 2001 ;
- L'évolution des jeux de hasard et d'argent : l'État croupier, le Parlement croupion, rapport du sénateur François Trucy, 2002 ;
- La Française des Jeux, Jackpot de l'État ?, Sébastien Turay, First Éditions, 2007 ;
- 100% des perdants ont tenté leur chance ?, Gilles Delbos et Robert Riblet, Le Seuil, 2008.
Notes et références
- ↑ Site officiel de la Française des Jeux « "Française des Jeux" reste le nom et la marque institutionnelle. Elle continuera à signer toutes les expressions de l'entreprise Française des Jeux (site corporate, Fondation, actions de mécénat, etc.). » - complément au communiqué publié le 29 octobre 2009.
- ↑ http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5h5LjyamDzCwftO8CGkebiTa4kTHw AFP : La Française des Jeux raccourcit son nom et modifie son logo
- ↑ http://www.strategies.fr/actualites/marques/r61262W/christophe-blanchard-dignac-nouveau-president-de-la-fdj.html
- ↑ a, b, c, d et e [1]
- ↑ http://www.lefigaro.fr/actualites/2007/11/30/01001-20071130ARTFIG00394-les-jeux-de-grattage-truques-.php Lefigaro : La Française des Jeux entendue par la justice
- ↑ http://www.virtubel.be/gilbertcollard/spip.php?article38 Site de Gilbert Collard, avocat à l'affaire
- ↑ http://www.leparisien.fr/home/info/faitsdivers/articles.htm?articleid=291393189 Robert Riblet : «D'autres plaintes vont être déposées» Une intervieuw
- ↑ http://tf1.lci.fr/infos/economie/0,,3305809,00.html LCI : Un joueur réclame 2 millions d'euros
- ↑ http://archquo.nouvelobs.com/cgi/articles?ad=societe/20060530.OBS9617.html&host;=http://permanent.nouvelobs.com/ Nouvel Obs : Quand la FDJ tente d'acheter un investigateur gênant
- ↑ http://www.radiovraimentlibre.com/emission-52.html Radio Vraiment Libre : Explication de Robert Riblet sur son action contre la Française des jeux
- ↑ a et b Robert Riblet: "La Française des Jeux a eu tort de me prendre de haut"
- ↑ Interview de Robert Riblet, auteur de «100% des perdants ont tenté leur chance»
- ↑ (fr) Liste des opérateurs agréés sur www.arjel.fr. Consulté le 16 septembre 2010.
Articles connexes
- Jeu de pronostics en France
- Loto
- Loterie
- Euro Millions
- Tac-o-tac
- équipe cycliste La Française des Jeux
- Fondation Française des Jeux
Liens externes
- (fr) Site commercial de La Française des jeux
- (fr) Site institutionnel de La Française des jeux
- 600.000 Français accros aux jeux d'argent et de hasard, Libération, 16 septembre 2011