Antoine Brignole-Sale
- Wikipedia, 10/01/2012
Antoine Brignole-Sale
Nom de naissance |
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Naissance | 22 mai 1786 Gênes, République de Gênes |
Décès | 1863 (à 77 ans) Palazzo rosso Gênes |
Nationalité | successivement : République de Gênes Génoise République ligurienne Génoise Française Royaume de Sardaigne Sarde Royaume d'Italie Italienne |
Pays de résidence | République de Gênes République ligurienne Empire français Royaume de Sardaigne Royaume de France Royaume d'Italie |
Profession | Diplomate |
Activité principale | Auditeur au Conseil d'État français Préfet de Montenotte Ambassadeur de Gênes puis du Royaume de Sardaigne Ministre d'État Sénateur du Royaume de Sardaigne |
Autres activités | Ministre plénipotentiaire de la sérénissime république de Gênes au congrès de Vienne Président des hôpitaux de Gênes Président du VIIIe congrès des savants Président honoraire de l'institut historique de France Mécène Philanthrope |
Formation | Collège Tolomei, Sienne |
Distinctions | Marquis de Groppoli Comte de l'Empire (1811) Voir § Décorations |
Ascendants | Antonio Giulio III Brignole-Sale et Anna Pieri Brignole Sale, dame du palais de l'Impératrice Marie-Louise |
Conjoint | Arthemisa Negrone |
Enfant | Maria de Brignole-Sale, duchesse de Galliera Luisa Melzi d'Eril Amalia Brignole-Sale |
Famille | Maison Brignole-Sale |
Compléments
Surnommé par le tsar : "le grand ambassadeur du petit roi"
Antoine (de) Brignole-Sale (22 mai 1786 - Gênes † 1863 - Gênes)[1], surnommé « Il grande Anton Brignole » était un noble italien, dixième marquis de Groppoli, homme d'État, ministre et ambassadeur illustre du royaume de Sardaigne. Il fut à Paris l'une des grandes personnalités intellectuelles de la monarchie de Juillet. On parle d'Antoine de Brignolé-Salé en France et d'Antonio Brignole-Sale en Italie.
Sommaire |
Biographie
Famille[2]
Antoine était le fils du marquis Antonio Giulio III Brignole Sale et de Anna Brignole Sale (née Pieri), qui joua un rôle important sous l'Empire. Il naquit à Gênes dans les toutes dernières années de l'Ancien Régime génois. Gênes était alors la capitale d'un petit état autrefois glorieux et prospère mais qui à cette époque ne comprenait plus que l'actuelle Ligurie, la République de Gênes. En 1768, l'état ligure avait du céder ses droits séculaires sur la Corse à la France après quarante années de révolte. Le gouvernement génois était alors oligarchique, c'est-à-dire dominé par quelques grandes familles, richissimes qui détenaient l'exclusivité des honneurs, charges et dignités de l'État. Au premier rang de ses puissantes familles, figurait la famille Brignole. Devenue noble seulement en 1528, elle avait déjà fourni plusieurs doges - Gian Francesco I en 1635, Gian Francesco II en 1748, qui connut un mandat particulièrement mouvementé, Ridolfo Emilio doge en 1762 et grand-père d'Antoine Brignole-Sale, ainsi que Giacomo Maria Brignole qui fut doge de 1779 à 1781 puis de 1795 à 1797 assumant ainsi la qualité d'ultime doge et de seul doge a avoir accompli deux mandats. À sa naissance, il était aussi le cousin de la princesse de Monaco et de Condé, Maria Caterina Brignole Sale, issue de son grand-oncle Joseph Brignole-Sale. C'est dire qu'Antoine Brignole-Sale bénéficiait à sa naissance des plus belles perspectives et des plus solides appuis dans les hautes noblesses de France et d'Italie.
Deuxième d'une fratrie de deux garçons et deux filles, Antoine avait pour frère aîné, Rodolphe Brignole-Sale, plein de modestie et d'humilité, que le pape Pie VII, qui l'appréciait beaucoup, fit évêque d'Assises et qui mourut en 1832, encore jeune et vivement regretté et pour sœurs, Maria Pellegrina, épouse du duc Emmerich Joseph de Dalberg, numero deux de la diplomatie française sous l'Empire après Talleyrand et Emilia, épouse du comte Ferdinando Marescalchi, d'une des premières familles du Royaume d'Italie et de Bologne.
Union et postérité
Lui-même épousa la marquise Artemisia Negrone[1], d'une illustre famille patricienne génoise. De cette union naquirent :
- Maria de Brignole-Sale, princesse de Lucedio, duchesse de Galliera et Marquise de Ferrari
- Luisa Melzi d'Eril, duchesse de Lodi
- Amalia Brignole-Sale[3].
Jeunesse
Antoine de Brignole-Sale, perdit son père en 1802, devenant alors le dixième et dernier marquis de Groppoli en Toscane dont sa famille avait été chassée en 1774 par le grand-duc de Toscane. Il alla faire ses études, avec son frère, au collège Tolomei[1] de Sienne, ville d'où était originaire sa mère et où les Brignole possédaient des biens.
Sous le consulat et l'Empire
Sa mère s'attacha dès la seconde campagne d'Italie (1800) à la personnalité de Bonaparte. En 1802, elle alla vivre aux Tuileries comme dame du palais de Madame Bonaparte[4]. Elle poussa très tôt son fils aux premières places de l'administration impériale. Antoine fit vraisemblablement ses premières armes de fonctionnaires français en 1805 en préparant le rattachement de la République ligurienne à la France. L'acte définitif de ce rattachement qui outragea l'Europe fut signé dans le palazzo Rosso ou palais Brignole-Sale à Gênes ! Cet événement, ainsi que le couronnement de l'Empereur Roi d'Italie, fut la cause de la formation de la Troisième Coalition qui éclata le 2 décembre 1805 à Austerlitz en Bohème.
Nommé Auditeur au Conseil d'État (administration qui formait alors les plus hauts magistrats et commis de l'Empire) le 12 août 1807, Antoine Brignole-Sale fut affecté de 1807 à 1811 auprès du ministre et à la section de l'Intérieur. Il fut aussi rattaché à la commission des pétitions en 1808 et 1809. Puis après avoir été auditeur en service extraordinaire et secrétaire de la commission de liquidation à Florence (1810), il passa auditeur de 1[5] classe en service ordinaire près du ministre et de la section de l'Intérieur en 1811 : il peut alors assister aux séances du Conseil présidées par l'Empereur. C'est alors qu'il fut remarqué pour son intelligence et son assiduité au travail par l'Empereur lui-même, à l'occasion de la rédaction d'un brillant rapport sur l'annexion du royaume de Hollande lu par Napoléon en personne[réf. à confirmer][1]. En récompense, il devint maître des requêtes en service ordinaire à partir du 5 juillet 1811, et resta attaché à la section de l'Intérieur. Il fut aussi maître des requêtes à la commission du contentieux et à nouveau à la commission des pétitions en 1812.
Comte de l'Empire le 30 août 1810, il fut fait commandeur de l'Ordre de la Réunion en 1813. La même année, il passa en service extraordinaire et exerça les fonctions de préfet de Montenotte. Le choix de sa préfecture dont Savone était le chef-lieu ne fut pas due au hasard. L'on a put en effet s'étonner de la nomination de cet aristocrate génois à la tête d'une des trois préfectures situées sur le territoire de l'ancienne République de Gênes mais la raison en est qu'à cette date et jusqu'à la chute de l'Empire, Napoléon détenait le pape Pie VII en résidence surveillée dans cette même ville. l'Empereur qui espérait toujours un utopique arrangement avec le Saint-père, lui envoyait donc pour geôlier un italien, aristocrate et catholique qui plus est et dont la famille était alliée et appréciée du souverain pontife. De son illustre prisonnier qui se plaisait à l'appeler avec un doux sourire : « Il mio buon Carceriere » en français : « mon bon gardien de prison ! », il parvint à gagner tant l'estime que l'affection.
Le tout dernier ministre de la République de Gênes
Les évènements de 1814 et 1815 ayant abattu l'empire, délié de tout engagement envers Napoléon, l'ex-préfet mit tout ce qu'il avait de zèle et de talents au service de sa première patrie. En effet l'ancienne république de Gênes s'était reconstituée au landemain de la chte de Napoléon Ier. Mais cette tentative de restauration était destinée à faire long feu. Au congrès de Vienne, il défendit vigoureusement l'indépendance de sa patrie dont l'annexion par le Piémont avait été décidée par une clause secrète du traité de Paris en 1814. Ses protestations, bien que véhémentes furent vaines[1]. Il proposa alors aux autres nations d'imposer au Royaume de Sardaigne comme contre-partie à l'annexion de la Ligurie, une constitution très libérale ou à défaut une représentation populaire importante. Car cet aristocrate, comme sa mère avant lui, avait été gagné par les idées de France, et bien que membre, par sa naissance, de l'oligarchie la plus exclusive d'Europe, il croyait au libre droit des peuples à se gouverner eux-mêmes[1]. C'est à Vienne qu'il reçut les derniers soupirs de sa mère, dame d'honneur de Marie-Louise, mais aussi de sa fille aînée.
Au service du Royaume de Sardaigne
Le roi Victor-Emmanuel Ier, conscient du mécontentement d'Antoine de Brignole-Sale qu'avait provoqué l'annexion de sa patrie par les États de Sardaigne réalisait pleinement tout ce qu'il y avait de noble et de généreux dans le dévouement d'un descendant de doges envers sa patrie. C'est pour cela, qu'il s'efforça de se l'attacher. Antoine de Brignole-Sale posa une unique condition, si jamais sa patrie devait retourner à la liberté, il serait aussitôt délié de toute fidélité envers le souverain et il pourrait dès lors se consacrer aux choses publiques de sa patrie seule. Le roi souscrivit à cette condition et frappant amicalement son épaule, il lui fit cet éloge : « Davvero voi siete un galantuomo » ce qui signifie : « vous êtes véritablement un honnête homme[1] ».
En 1816, Victor-Emmanuel le nomma ministre plénipotentiaire auprès de la cour de Toscane dans l'intention de lui faire négocier le mariage du prince de Carignan et futur roi, Charles-Albert de Sardaigne avec S.A.R. Marie Thérèse de Habsbourg-Toscane. Sa charge dura jusqu'en 1818. De 1819 à 1821, il fut ambassadeur de la cour de Sardaigne auprès de celle d'Espagne[1]. Les évènements politiques du Piémont de ces années le ramenèrent un temps à la vie privée.
En 1826, le roi Charles-Felix de Savoie, le nomma ambassadeur extraordinaire au couronnement du tsar Nicolas Ier de Russie. Le tsar l'avait d'ailleurs surnommé : « Le grand ambassadeur du petit roi » (Charles-Felix ne se démarquait en effet pas par la taille)[6]. À son retour de Moscou, il était président des hôpitaux lors-qu'éclata à Gênes une épidémie de choléra. Le président des hôpitaux devint le premier des infirmiers, tant il mit de zèle et de courage à secourir les infortunés malades[1]. En 1836, il fut ministre extraordinaire au couronnement de la reine Victoria. À Londres comme à Moscou il se montra plus que digne de la mission qui lui avait été confiée et plus encore de son souverain.
En 1836, il succéda au comte de Sales comme ambassadeur de la cour de Sardaigne à Paris, charge qu'il occupa jusqu'en 1848. Durant ces douze années, par son esprit et ses manières, il devint l'un des personnages incontournables de la haute vie diplomatique et intellectuelle de Paris du temps de la monarchie de Juillet. La haute société parisienne le fit sien, s'attacha à le conserver, à rechercher sa présence et à désirer sa compagnie. Il laissa quantité d'admirateurs et d'amis. Il revint de nombreuses fois à Paris à titre privé. Sa fille, Marie de Brignole-Sale, duchesse de Galliera se sentait autant parisienne que génoise au point de vivre dans la capitale française de nombreuses années à Matignon et de s'y faire construire un palais dans le XVIe arrondissement. Antoine de Brignole-Sale prit un immense plaisir à s'occuper de l'éducation de ses petits-enfants, André de Ferrari qui mourut à 15 ans seulement mais aussi de Philippe[1]. André et ses sœurs avait eu la chance, grâce au prestige de leur mère et de leur grand-père, de devenir des intimes des enfants du roi Louis-Philippe Ier.
L'écrivain, Henry de Riancey[1], décrivit ainsi Antoine de Brignole-Sale :
« C'était l'un des plus éminents représentants de l'antique foi et de l'antique honneur. C'était l'un des plus beaux caractères de ce siècle qui en est si avare. Grand par sa naissance, grand par les services qu'il a rendu à son pays, grand par la supériorité de ses talents et l'étendue de ses connaissances et entre ses vertus, par sa piété et son humilité... Il était entouré d'une dignité sans égale, son nom était synonyme de la dignité, de la générosité, de la courtoisie et de la bienveillance. (...) Le marquis de Brignole était le vrai type du gentilhomme, de l'homme d'état et du chrétien. »
Doté d'une grande culture, il fut honoré du titre de président honoraire de l'institut historique de France. De plus, quand en 1846, le VIIIe Congrès des Savants se réunit à Gênes, le roi Charles-Albert l'honora de la présidence du congrès. Il reçut les membres avec faste dans son somptueux palais, le Palazzo Rosso[1].
Le roi lui confia aussi les missions les plus délicates dont il sut s'acquitter brillamment, s'attirant les éloges et l'estime de tous, ayant conquis tous les cœurs grâce, encore, à son esprit et ses manières, toujours humbles et délicates. Ainsi, après le désastre de la Bataille de Novare (1849), il fut chargé de négocier la difficile paix à Vienne même. Il s'était d'ailleurs opposé avec véhémence au gouvernement jugeant contraire à l'honneur et aux intérêts de l'Italie, la guerre contre l'Autriche.
Fin de carrière
Antoine de Brignole-Sale démissionna en 1848 de sa charge d'ambassadeur à Paris, par estime envers le roi des français Louis-Philippe qui venait d'être chassé et par mauvaise entente avec le gouvernement républicain du général Cavaignac au sujet d'une Italie en ébullition.
En 1849, à Vienne, lui fut présenté un projet visant à mettre fin à l'immunité dont bénéficiaient les ecclésiastiques. Bien que fermement opposé à ce projet, qu'il considérait comme une injure faite au Saint-Siège, celui-ci fut adopté. Il entra alors dans l'opposition au gouvernement de Camillo Cavour. L'opposition du comte Cavour et du marquis Brignole donna lieu à des débats houleux au sénat[7]. Il s'opposa encore avec véhémence à l'annexion de Nice et de la Savoie par la France, ainsi qu'au transfert du siège de la marine royale, de Gênes à La Spezia[1]. Enfin, protestant une fois de plus en 1860, contre l'annexion de la Toscane, de Naples, de la Sicile et d'une partie des États du Pape, Antoine Brignole-Sale, extrêmement pieux et ne pouvant se résoudre à être membre d'un gouvernement dont il réprouvait les actes, démissionna de sa charge de sénateur en avril 1861, soit quelques jours après la proclamation du nouveau Royaume d'Italie, le 1er avril.
En 1855, Antoine Brignole fonda à Gênes le séminaire Negroni-Brignole-Sale d'où sont sortis un grand nombre d'hommes illustres de l'Église. Ce fut l'œuvre de sa vie, celle qu'il médita durant toute son existence[1]. Par cette fondation, il accomplissait le vœu pieux de Christophe Colomb qui avait exprimé dans son testament son souhait de voir sa patrie dotée d'un séminaire. Le notaire du grand explorateur n'était autre que Niccolo Brignole, ambassadeur, juriste et ancêtre d'Antoine Brignole-Sale[8].
En 1856, il avait prononçé à l'Institut Historique de France un brillant discours en faveur du percement de l'isthme de Suez, aujourd'hui appelé : canal de Suez[1].
Il fut aussi président du Sénat sarde en 1849, et sénateur italien pendant quelques jours seulement après avoir été l'un des plus important sénateur du royaume de Sardaigne pendant près de quarante-six ans. Il était de plus gentilhomme de la chambre du roi[9]. Il mourut en 1863 et eut droit à un hommage solennel en la cathédrale de Gênes, mené par l'archevêque de cette ville.
Publications
- Des droits temporels du pape, Considérations sur la question romaine, 1860
- Quelques Erreurs réfutées, ou Exposé de la conduite du marquis Antoine Brignole, lors de sa mission auprès du Congrès de Vienne, en qualité d'envoyé du Gouvernement de Gênes
Titres
- 10e et dernier marquis de Groppoli.
- Comte de Brignole et de l'Empire (institution de majorat, attaché au titre de comte, accordée par lettres patentes du 30 août 1811, à Compiègne).
Décorations
- Chevalier de l'Ordre Suprême de la Très Sainte Annonciade (Savoie) ;
- Grand cordon de l'Ordre des Saints-Maurice-et-Lazare ;
- Légion d'honneur[10] :
- Légionnaire (3 décembre 1809), puis,
- Officier de la Légion d'honneur (30 juin 1811) ;
- Commandeur de l'Ordre impérial de la Réunion (1813) ;
- Chevalier de l'ordre Pour le Mérite (classe civile, 1842).
- Chevalier Grand-croix de l'Ordre de Saint-Joseph :
- Grand-croix de l'Ordre de Dannebrog ;
- Chevalier de l'Ordre de l'Aigle blanc (Russie impériale) ;
- Grand cordon de l'Ordre de Saint-Stanislas ;
Armoiries
Figure | Blasonnement | |
Armes de la famille Brignole
D'azur à un pin [alias un prunier] fruité de sinople, terrassé du même, senestré d'un lion de gueules, couronné, rampant contre le fût. Casque avec lambrequins[11]. Armes parlantes (« brignole » en génois/ligure = prune (fruit)[12].). |
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Armes du comte Brignole-Sale et de l'Empire
Écartelé au premier des comtes pris dans notre Conseil d'État, au deuxième d'azur à l'arbre de sinople terrassé du même, fruité de gueules et sénestré d'un lion contrerampant de gueules, au troisième d'or au lion de gueules tenant entre ses pattes une croix haussée du même, au quatrième d'or, à trois pals de sable.[13]
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Annexes
- Archives nationales (France) : Dossier F1bI 156/45
Bibliographie
Notes et références
- ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m, n et o Eloge de son excellence le marquis Antoine Brignole Sale
- ↑ http://www.museopalazzorosso.it/template1.asp?itemID=30&level;=1&label;=I+Brignole-Sale&sito;=6&lingua;=1
- ↑ Article de wikipedia en italien sur Philippe La Renotière von Ferrari, petit-fils d'Antoine Brignole
- ↑ Mémoires de Constant, valet de chambre de l'Empereur
- ↑ ère
- ↑ Site italien dédié à Antoine Brinole
- ↑ Histoire de l'unification de l'Italie
- ↑ Christophe Colomb, Séminaire Negrone-Brignole-Sale, Niccolo Brignole
- ↑ Site officiel du sénat italien
- ↑ Notice no LH/1004/49, sur la base Léonore, ministère de la Culture
- ↑ a et b (en) Jean-Baptiste Rietstap, Armorial général, t. 2 : (tome 1 et 2), Gouda, 1884-1887
- ↑ (it) « Palazzo rosso a Genova », Lo stemma dei Brignole Sale sur www.circolodidatticogenovasturla.it. Consulté le 31 juillet 2011
- ↑ a et b BB/29/1003 pages 256-260., Institution de majorat attaché au titre de comte au profit de Antoine, Jean-François, Marie, Ignace, Louis Brignole-Sale, accordée par lettres patentes du 30 août 1811, à Compiègne. sur chan.archivesnationales.culture.gouv.fr, Centre historique des Archives nationales (France). Consulté le 4 juin 2011
Articles connexes
- Annexion du comté de Nice à la France ;
- Giuseppe Garibaldi
- Histoire de l'Italie
- Politique italienne de Napoléon III
- Risorgimento ;
- Famille Brignole ;
- Marquisat de Groppoli ;
- Congrès de Vienne ;
- Montenotte (département) ;
- Liste des premiers préfets français (1800-1815) ;
- 1814 en droit ;
- Liste des membres de la noblesse d'Empire ;
- Armorial des comtes de l'Empire ;
Liens externes
- Napoleonica.org, Brignole-Sale, Antoine Jean Louis François Ignace, (1786-1863) sur www.napoleonica.org, Fondation Napoléon. Consulté le 3 août 2011 ;
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