Actions sur le document
Article 36
Article 37
Article 38
Article 38 bis
Article 38 bis-0 A
Article 38 bis-0 A bis
Article 38 bis A
Article 38 bis B
Article 38 bis B bis
Article 38 bis C
Article 38 ter
Article 38 quater
Article 38 quinquies
Article 38 quinquies A
Article 38 sexies
Article 39
Article 39 A
Article 39 AA
Article 39 AA bis
Article 39 AA ter
Article 39 AA quater
Article 39 AA quinquies
Article 39 AB
Article 39 AC
Article 39 AD
Article 39 AE
Article 39 AF
Article 39 AG
Article 39 AJ
Article 39 AK
Article 39 B
Article 39 C
Article 39 D
Article 39 E
Article 39 F
Article 39 G
Article 39 bis
Article 39 bis A
Article 39 ter
Article 39 ter A
Article 39 ter B
Article 39 ter C
Article 39 quinquies
Article 39 quinquies A
Article 39 quinquies C
Article 39 quinquies D
Article 39 quinquies DA
Article 39 quinquies E
Article 39 quinquies F
Article 39 quinquies FA
Article 39 quinquies FC
Article 39 quinquies G
Article 39 quinquies GA
Article 39 quinquies GB
Article 39 quinquies GC
Article 39 quinquies GE
Article 39 quinquies H
Article 39 quinquies I
Article 39 sexies
Article 39 octies A
Article 39 octies C
Article 39 octies D
Article 39 octies E
Article 39 octies F
Article 39 nonies
Article 39 duodecies
Article 39 duodecies A
Article 39 terdecies
Article 39 quaterdecies
Article 39 quindecies
Article 39 quindecies A
Article 39 octodecies
Article 39 novodecies
Article 40
Article 40 quinquies
Article 40 sexies
Article 41
Article 41 bis
Article 42 septies
Article 42 octies
Article 43 bis
Article 39 quinquies C

1 Les entreprises industrielles et commerciales qui souscrivent au capital des sociétés ayant conclu une convention avec l'Etat dans les conditions prévues à l'article 1er de l'ordonnance n° 59-248 du 4 février 1959 peuvent, dès le versement de leur souscription, effectuer un amortissement exceptionnel égal au montant de ce versement et déductible pour l'établissement de l'impôt qui frappe les bénéfices (1).

Les dispositions visées au premier alinéa ne s'appliquent pas aux souscriptions au capital effectuées à compter du 1er janvier 1991.

2 En cas de résiliation de la convention prononcée dans les conditions prévues par ladite convention pour inobservation des engagements souscrits, le montant des amortissements exceptionnels effectués au titre du 1 est réintégré dans les bénéfices de l'exercice en cours.

Le ministre de l'économie et des finances peut ordonner que les dispositions ci-dessus prennent effet en totalité ou en partie à compter de la date à laquelle la convention résiliée avait été signée ou à une date plus rapprochée.

3 En cas de dissolution d'une société visée au 1, le ministre de l'économie et des finances peut ordonner la réintégration, dans les conditions prévues au 2, de tout ou partie des avantages fiscaux dont les associés ont bénéficié au cours des cinq derniers exercices.

4 Tout associé exclu pour les motifs et selon les modalités prévues par les statuts perd, dans les conditions prévues au 3, le bénéfice des dispositions du 1.

(1) Voir art. 93 ter.

Dernière mise à jour : 4/02/2012
Vous pouvez aussi voir...
Actualité juridique
Le confinement de procédure pénale
Journal d'un avocat - Eolas - 25/03/2020
Du bon usage des exceptions (et du mot incident)
Journal d'un avocat - Eolas - 2/03/2020
Battons le pavé en Louboutin et en Weston
Journal d'un avocat - Eolas - 15/09/2019